Ce documentaire apporte une lumière singulière sur la polémique qui a suivi la publication d’une étude génétique de 2016, sur des momies de populations ayant vécus en Égypte dans l’antiquité tardive.
Le présentateur commence par remettre le travail scientifique qui a été réalisé dans son contexte : à savoir que les fouilles qui ont révélées les restes de corps momifiés qui ont servi de support à cette étude génétique, avaient pour but de découvrir des anciens papyrus grecs.
C’est ainsi qu’il est mis en évidence que les territoires circonscrits par cette publication de 2017, décrivent les principaux sites d’immigrations de l’état Pharaonique. C’est-à-dire que les lieux d’où proviennent les momies étudiées, étaient des localités qui traditionnellement accueillaient une quantité particulièrement importante d’immigrants du « proche orient », de Grèce et de l’empire Romain selon les âges.
Cette publication, contrairement à la majorité des gros titres de la presse auxquels elle a ouvert la voie, s’applique à nuancer ces propres conclusions en rappelant les insuffisances et lacunes qui pèsent aussi bien sur la méthode que sur l’analyse dont elle fut l’expression.
Après l’analyse circonstanciée de différents points saillants de ce document, le présentateur de ce documentaire nous présente les résultats et commentaires d’experts concernant d’autres études sur les populations de la vallée du Nil.
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